Quand souffle le vent du nord et La septième vague ont eu droit
à leur dépoussiérage ! Désormais, cet article se lit par ICI. Merci !
Quand souffle le vent du nord
Présentation de l’éditeur :
En voulant résilier un abonnement, Emma Rothner se trompe d’adresse et envoie un courriel à un inconnu, un certain Leo Leike. Ce dernier, poliment, lui signale son erreur ; Emma s’excuse, et, peu à peu, un dialogue s’engage entre eux, par courriel uniquement. Au fil du temps, leur relation se tisse, s’étoffe, et ces deux inconnus vont se mettre à éprouver l’un pour l’autre une certaine fascination. Alors même qu’ils décident de ne rien révéler de leurs vies respectives, ils cherchent à deviner les secrets de l’autre… De plus en plus attirés et dépendants, Emmi et Leo repoussent néanmoins le moment fatidique de la rencontre. Emmi est mariée, et Leo se remet à grand peine d’un chagrin d’amour. Un jour, pourtant – enfin ! -, ils décident de se donner rendez-vous dans un café bondé de la ville. Mais ils s’imposent une règle : reconnaître l’autre qu’ils n’ont pourtant jamais vu, avec interdiction formelle de lui parler…
La septième vague
Présentation de l’éditeur :
Leo, de retour des États-Unis, la correspondance entre Emmi et lui reprend, d’abord timide après de longs mois de silence, puis tout s’enchaîne. Mais voici qu’Emmi souhaite en finir pour de bon et mettre un terme à cette relation épistolaire. Pour cela, elle veut rencontrer Leo, une fois au moins. La rencontre a lieu – conformément à la forme consacrée du roman épistolaire – sans public. Le lecteur n’aura droit qu’au compte-rendu. La relation virtuelle survivra-t-elle au test de la réalité ? Comment maintenir la tension, si les deux personnages ne peuvent plus se cacher derrière les mots, mais se retrouvent face à face ? C’est là tout le charme, pétillant et captivant, de cette romance virtuelle et virtuose.
un très bon souvenir de ces ouvrages pour moi aussi! et une envie de les relire en parcourant ton billet!! 😉
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Oh, super alors! Et dire qu’en finissant le tome 1, je n’avais pas le 2…
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Pareil que faelys, un bon souvenir pour moi aussi. C’était léger et émouvant, j’ai aimé.
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Oui, surtout on ne peut pas lâcher ces livres!
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