C’est lundi, je dépoussière… Le rire de Caroline

C'est Lundi, je dépoussière..

Chaque lundi, Entre Les Pages vous propose un ancien article dont le texte et la mise en page ont été rafraîchis. De belles redécouvertes au programme ! Aujourd’hui, place à…

Le rire de Caroline de Katja Henkel

Caroline ne rit plus. « Line », comme l’appelle ses parents, n’a plus goût à rien. Elle n’en peut plus de la nourriture bio de sa mère, des infos qu’écoute son père tout au long de la journée et des sorties au musée avec sa baby-sitter nulle qui ne cherche qu’à draguer le vendeur de souvenirs. Mais tout là haut, dans le ciel, quelqu’un se préoccupe de Line et envoie deux anges en mission sur Terre. Gustave et Agathe ont trois jours et pas un de plus pour rendre à Line son sourire et sa joie de vivre. Peut être que cette petite fille ne trouve plus aucun plaisir dans son quotidien mais elle a aussi besoin d’une bon coup de pouce pour comprendre que le bonheur de chaque jour se provoque tout de même un chouïa et que beaucoup de choses dépendent ainsi d’elle.

Son histoire, qui va vite devenir une incroyable aventure, se déroule en deux parties symboliques. Le roman est divisé en ces deux grands temps pendant lesquels les anges Gustave et Agathe s’évertuent à rendre Line heureuse et vivent eux aussi une collaboration inédite. Leur inspiration pour pimenter sa vie réserve de délicieuses surprises qui alimentent un texte frais et joyeux malgré les soucis de son héroïne. Il ne faut pas dévoiler leur initiative principale mais seulement dire qu’en plus d’être inattendue, elle finit d’auréoler le récit de l’originalité et de l’énergie qui le caractérisent et font tout son charme. Le rire de Caroline est un beau roman qui donne envie de profiter de la vie et de toutes les joies et les beautés qu’elle offre. Une vraie bouffée d’oxygène !

Le rire de Caroline 01

Présentation de l’éditeur :
La vie de Caroline est monotone, et sans surprise : chaque matin son père l’emmène à l’école, et le soir une étudiante pas très sympa vient la chercher. Quant à sa mère, psychologue, elle ne fait que travailler ! Résultat, Caro déprime. En haut lieu, au ciel, « On » s’en émeut, et « On » dépêche l’ange Gustave VII à son secours. Comme la tâche promet d’être difficile, « On » lui adjoint une assistante : l’ange Agathe. Tous deux ont soixante-douze heures pour rendre à Caro sa joie de vivre.

Featherduster


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