Le jour où le diable m’a trouvée

Merci aux
éditions Hachette!

Violet White habite la grande et mystérieuse maison familiale avec son frère Luke. Artistes, leurs parents sont encore absents. Comptent-ils même revenir ? C’est l’été et à part quelques diffusions de films en plein air, il ne se passe pas grand chose à Echo. Sauf au moment où un nouveau venu en ville, River West, loue la dépendance des White et que des événements étranges secouent la population. Tout commence par la disparition d’une petite fille.

Toujours bouleversée par la mort de sa grand-mère, Violet entend régulièrement Freddie lui parler et se souvient des mises en garde de celle-ci contre le diable. Mais il est trop tard… Vi tombe sous le charme de ce garçon aux pouvoirs démoniaques qui vient tout juste de rentrer dans sa vie. Et quels pouvoirs ! Violents, puissants, incontrôlables, ils font de leur hôte un esclave, un drogué. Ceux qui l’entourent sont tous des victimes potentielles de son embrasement !

Le jour où le diable m’a trouvée est un roman qui propose avant tout une ambiance à la croisée de plusieurs atmosphère connues et appréciées de la littérature. Des excursions dans un cimetière, des costumes de style vintage, une demeure au bord d’une falaise… Le climat est déstabilisant, étrange, inquiétant. Et ce, dès le début. Quand les personnages sont introduits, quand leur situation est mise en avant et que, déjà particulière, elle est doublement rendue singulière par l’arrivée d’un homme magnétique, gentil, attentionné et que de lourds secrets accablent. Parce que River est évidemment un personnage aussi terrifiant que touchant pour qui l’esprit de Violet se torture.

Entre passion et épouvante, l’entreprise donc très frustrante d’April Genevieve Tucholke enchaîne les frissons et les plaisants rebondissements. Ces derniers agrippent le lecteur jusqu’à la fin de l’intrigue gothique joliment ficelée, la première dans la vie maintenant bien remplie de Violet.

Présentation de l’éditeur :
Rien de bien excitant ne se passe jamais dans la petite ville balnéaire où vit Violet White. Jusqu’au jour où s’y installe un certain River West. Dès son arrivée, des choses étranges commencent à se produire dans la ville. Violet s’interroge sur ce garçon qui habite désormais dans l’arrière-cour de chez elle. Est-il seulement un très beau menteur au sourire fourbe et au passé mystérieux ? Ou pourrait-il être plus que cela ? La grand-mère de Violet l’a toujours mise en garde contre le diable, mais elle n’a jamais dit qu’il pouvait avoir l’apparence d’un garçon aux cheveux noirs qui fait des siestes au soleil, aime le café, vous embrasse dans un cimetière… et vous donne envie de l’embrasser en retour. Violet est aveuglée par son charme et perd toute lucidité. Exactement comme le voulait River… La peur du diable ne disparaît que lorsqu’on lui tient la main…