Antoine est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Un jour, et sans dire la vérité à ses proches, il abandonne tout. Il quitte son emploi, rend son appartement et part pour Paris où il se fait embaucher comme gardien de salle au musée d’Orsay. Apparemment, seule la contemplation de la beauté le rend désormais capable de se lever chaque matin. Mais pourquoi ? De son côté, Camille est une jeune peintre au talent prometteur. Elle oscille malheureusement entre inspiration et intenses dépressions suite à un drame. Y a t-il un lien entre ces deux êtres profondément blessés ?
Vers la beauté est divisé en quatre parties. Le lecteur fait tout d’abord la rencontre d’Antoine avant de remonter le temps vers la douce Camille. Ce qui les pousse à agir comme ils agissent doit rester un mystère pour les futurs lecteurs. Il est cependant possible de dire que leur relation met en avant les bienfaits et l’importance des rencontres dans l’existence. Leur histoire se déroule dans le monde de l’art car celui-ci porte secours à l’âme dans bien des circonstances. Ici, il s’agit de la peinture mais celle-ci pourrait être remplacée par toute autre forme d’expression. Ce qu’il faut retenir, c’est que l’art console, guérit, fait avancer. Les spirales infernales, la culpabilité font ici face au besoin de reconstruction. La solitude tombe sur l’amour. La mort redonne vie. Les mots de David Foenkinos sont doux, pudiques, poétiques. Ils emmènent vers de fortes et réelles émotions.
Présentation de l’éditeur :
Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n’a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté. Derrière son secret, on comprendra qu’il y a un autre destin, celui d’une jeune femme, Camille, hantée par un drame.
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J’aime énormément cet auteur et j’ai noté ce roman que je veux absolument lire …
L’art comme réponse à la douleur des êtres cabossés par la vie : un bel écho ❤
Belle journée Pauline !
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Je me méfie un peu de Foenkinos. Je n’ai pas aimé « la délicatesse ». Je me suis réconcilié avec lui avec « Henri Pick ». Un 3e essai? Peut-être…
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Littérature et art, ça ne peut que me plaire mais j’ai déjà lu plusieurs fois l’auteur.
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Ah, c’est un problème ?
Je n’ai lu que ses deux derniers romans.
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Coucou,
Je te rejoins totalement, c’est un roman touchant et poétique ! Et j’ai aimé la dimension artistique aussi 🙂
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Merci de ton passage par ici 🙂 J’ai beaucoup apprécié ce roman, oui 🙂
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