Grégoire a 13 ans. En sixième, il déteste l’école. Ce qu’il préfère c’est inventer, créer de ses mains des machines à éplucher les bananes, une table à repasser qui permet de repasser assis, aider le voisin à faire tous les travaux de se maison et rester des heures avec Grand-Léon, son grand-père.
Sauf que les bulletins catastrophiques de Grégoire font perdre patience à ses parents qui ne semblent plus s’aimer comme avant et la vie à la maison est un enfer. C’est pour cela que Léon conseille que Grégoire aille en pension. Son petit-fils trouvera-t-il l’établissement qui lui convient et, surtout, sera-t-il accepté si le recrutement se fait sur dossier ?
Il est impossible d’être bon en tout, intéressé par tout et pour couronner tout cela, il n’est pas facile de trouver sa voie. Grégoire ne sera pas médecin ou avocat mais il sera lui-même. L’auteur est honnête avec lui, même en faisant des efforts il devra se cantonner à ses rêves. Mais n’est-ce pas magnifique ? Porté par l’amour, la foi qu’on a en lui, Grégoire va réaliser des miracles, il va comprendre, grandir et se réaliser. Il a toujours « eu quelque chose », il suffisait de trouver la bonne clé et la bonne porte pour libérer son souffle, sa rage, son être.
35 kilos d’espoir c’est l’histoire d’un garçon un peu perdu qui pourrait être celle de n’importe qui. Beaucoup peuvent se reconnaître et se souvenir grâce à cet ouvrage optimiste, intelligent et désaltérant. Parce qu’en dépit de toute la volonté, la réflexion ou les promesses dont elles attestent, il n’y a pas que les notes… Travailler, oui, exister, aussi !
Présentation de l’éditeur :
Grégoire déteste l’école, si fort qu’en sixième il a déjà redoublé deux fois. Le seul endroit qu’il aime, son refuge, c’est le cabanon de son grand-père Léon, la seule personne qui le comprenne, avec qui il passe des heures à parler et à bricoler. Quand Grégoire est renvoyé du collège, pourtant, Léon est furieux. Il renonce à consoler son petit-fils et lui refuse sa protection. Il est temps, peut-être, que Grégoire accepte de grandir… 35 kilos d’espoir est un conte plein d’humour, pour enfants et pour adultes. Il peint de manière très riche la complicité, la proximité de l’enfant et de son grand-père. Il semble qu’ils soient seuls à se comprendre et à se soutenir. C’est pourquoi il ravira petits et grands qui, pour certains, s’y reconnaîtront.
Ha tu l’as lu 😉 Il est bien hein. J’ai trouvé cela vraiment sympa. C’est mignon et l’histoire est bien écrite. Il me tentait depuis longtemps mais je ne regrette pas.
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Oui, je l’ai même lu très vite, au p’tit dèj, c’était très sympa, c’est plein de leçons et d’optimisme. 🙂
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Nous faisons lire ce livre aux élèves. C’est sans doute le seul roman pour la jeunesse de l’auteure. J’aime bien ce bouquin. Je crois qu’on en a fait un film.
Passe une bonne semaine.
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Oui, j’ai vu des images du film sur internet mais je ne l’ai pas vu. Bonne semaine à toi aussi, bonnes lectures!
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A sa lecture, j’ai été dérangée par certaines choses dont je parle dans mon billet (c’est vendredi et j’ai la flemme de tout remettre ici…).
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Ah faudrait que j’aille voir 🙂
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Un bol d’optimisme ça fait du bien!
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N’est-ce pas?! 🙂
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J’avais beaucoup aimé ce petit roman d’Anna Gavalda. Très touchant !
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Oui, rapide et clair, une lecture qui apporte aussi beaucoup! 🙂
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