Les amants de Samaroux

En 1944, grâce au débarquement, le vent de la liberté commence à souffler sur la France. Les forces de l’occupation renforcent donc leur autorité déjà épuisante et font preuve d’une barbarie semblant toujours plus extrême. Ces massacres ont inspiré Les amants de Samaroux. Natasha Farrant y raconte comment Arianne et Luc tombent amoureux à la fin de la guerre mais aussi comment lui a décidé, pour des raisons personnelles, de resister aux Nazis jusqu’au bout. Jusqu’où Arianne et ceux qui connaissent le projet du jeune homme pourront-ils le protéger ? Se protéger eux-mêmes ?

L’histoire se déroule dans un village isolé, dans un endroit presque inconnu qui ressemble à cette petite place que chacun a en soit pour renfermer et toujours garder le « souvenir ». Qu’il s’agisse de la pureté des sentiments amoureux, du courage de tant d’hommes et de femmes pendant ce conflit ou de l’inconcevable qui a alors enténébré le monde, le texte ouvre les portes de l’indicible et de l’émotion qui s’en dégage. Ce court roman est un compromis romantique et déchirant qui entraîne malgré quelques moments confus et peut-être un peu trop de retenue. La fin, quant à elle, est parfaite.

Présentation de l’éditeur :
France, 1944. Arianne et Luc, deux jeunes habitants du petit village de Samaroux tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Mais comment s’aimer quand la guerre fait rage alentour ? Est-ce que ces amants purs, au seuil de leur vie d’adulte, peuvent résister à l’Histoire et aux troupes allemandes aux portes de leur village ? Luc désire redorer l’image de sa famille entachée par la collaboration de son grand-père avec la Gestapo ; il décide de s’engager dans la Résistance. Arianne, elle, va tout faire pour protéger celui qu’elle aime, sans un regard pour cet autre qui est secrètement amoureux d’elle. Quelqu’un est prêt à tout pour séparer les amants de Samaroux à jamais.