La malédiction de la pierre de lune, Tome 03

Merci aux éditions
Gulf Stream!

Après les terribles moments vécus à Rome, Carla et Vincenzo se cachent chez Donato Rossini. Il est propriétaire d’une masserie, passionné par l’art et laisse ses protégés peindre et sculpter. Carla reçoit d’ailleurs une commande très importante pour sa carrière. Elle s’est remise de ses blessures mais a affreusement peur que l’Inquisition la retrouve elle et l’héritier des Pazzi. Surtout quand Claudia, sa tortionnaire, refait surface et qu’elle comprend que, pour les besoin d’une chasse au trésor, leur mécène pratique la magie…

Suite et fin de La malédiction de la pierre de lune à Naples auprès d’une héroïne toujours plus touchante qui a des difficultés à se rapprocher de l’homme qu’elle aime, freinée par sa condition d’un côté, demandée en mariage par Pedro Yniguez de l’autre. Mais bien plus qu’une histoire d’amour entre les classes, Naples continue de parler aux lecteurs de la condition des artistes femmes, de l’art lui-même, de l’Inquisition et de ses supplices. Des thèmes forts et passionnants de l’Histoire saupoudrés d’une dose idéale de fantastique que Catherine Cuenca a fusionnés avec un récit angoissant aux multiples rebondissements pour, en somme, réaliser une recette parfaite. Car tout dans cette aventure est, a été, impeccable. Le concept, les idées, les choix, la plume. Même le fait que la fin génère, comme pour Le mystère de la Tête d’Or, une grande frustration.

Présentation de l’éditeur :
Septembre 1478. Carla et Vincenzo habitent la masserie de Donato Rossini, à Naples. Des soldats espagnols mobilisés contre les Médicis ont établi leur camp aux abords de la ville et leur capitaine est envoûté par la beauté de Carla. Mais la jeune peintre a bien d’autres préoccupations. Craignant à tout moment d’être retrouvée par l’inquisition, elle tremble en apprenant que son mécène, à la recherche d’un trésor légendaire, fait appel à la sorcellerie. Et l’arrivée inattendue de Claudia laisse présager un malheur… Et si la malédiction était vouée à se réaliser ? Pire qu’un mariage avec le capitaine espagnol, si c’était le bûcher qui attendait Carla ?